5 décembre 2024

Un trio coquin avec une belle asiatique

Rien de mieux pour se relaxer que de prendre ses pieds. Xiang est une jeune Asiatique assez proche de Liu. Elle lui rend toujours visite pour se relaxer ou juste pour parler. Elle vécut sa première expérience à trois chez lui lors d’une de ses visites avec un autre ami.

Des préliminaires doux pour commencer

Une asiatique, de petite taille comme les autres, un peu timide venait rendre visite à son ami qui vit seul dans sa maison un peu isolée. Comme d’habitude, ils se faisaient plaisir quand l’un d’eux en a envie. Elle était vêtue d’une mini-jupe assez courte et laissait entrevoir ses cuisses Lorsqu’elle prenait place sur un grand divan. Son ami, assez baraqué, remarquait qu’elle ne portait pas de culotte et s’empressait à l’embrasser puis à sa main se balader  sous la jupette de Xiang. Il massait avec délicatesse la foufoune toute lisse de son amie. De son côté la jeune asiatiquetitillait la tige de Romain avec ses mains et sa langue. Ils ont terminés ces préliminaires par un 69 très sensuel et assez hot parce que le mec a fini par éjaculer dans la bouche de sa partenaire tandis des jets de liquide sortait du vagin de la fille.

Un ami les rejoint pour un trio de feu

Après quelques minutes de pause, un ami est arrivé pour les rejoindre. Le mec est plutôt bien foutu, il portait un jogging qui dessinait sa grosse bite endurcit. En effet, les deux amis étaient très en forme, ce qui est rare pour les Asiatiques. Ne supportant pas cette magnifique vue, la fille encore toute nue caressait la bite de la dernière venue, elle mettait sa main dans le jogging pour mieux la sentir vivante. En même temps, ce dernier lui caressait les seins et l’autre mec caressait la foufoune par sa tige. Cette séance de caresse n’a pas duré longtemps, la jeune femme recevait les deux grosses bites bien dures dans ses 2 trous : la bouche et le vagin. Les cris de jouissance, les pénétrations n’ont pris fin que lorsque la femme a pris un bain de foutre partout son corps par les deux mecs. Une histoire qui n’est pas encore terminée.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *